Les arbres isolés au milieu des cultures (arbres fruitiers, chênes ou noyers) deviennent de plus en plus rares. Souvent protégés par les Plans d'aménagement locaux, ils sont néanmoins abattus au mépris de la Loi et non remplacés. Avec le temps, on assiste à une banalisation du paysage qui n'est plus qu'un agro-écosystème sans beauté paysagère.